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Le blog baouw

Diabète, alimentation et sport

90 % des diabétiques sont des diabétiques de type 2 ! Donc des gens qui ont développé un diabète suite à leurs habitudes alimentaires. On estime que 80 % d’entre eux auraient pu l’éviter. Pourquoi, comment ?
25 novembre 2023 par
Diabète, alimentation et sport
Jérémy Tissot BAOUW

DIABÈTE : COMMENT S’EN PROTÉGER, COMMENT GÉRER 

90 % des diabétiques sont des diabétiques de type 2 ! Donc des gens qui ont développé un diabète suite à leurs habitudes alimentaires. On estime que 80 % d’entre eux auraient pu l’éviter. Pourquoi, comment ? Quelles habitudes alimentaires sont nocives ? Que faut-il faire ? Peut-on manger des Baouw (sans sucres ajoutés) si on est diabétique ? Comment concilier sport à bon niveau et diabète ? Toutes les réponses de notre nutritionniste Benoît Nave, diplômé en Micronutrition Alimentation Prévention Santé (fac de médecine Paris-Descartes).   

• Le diabète, c’est quoi ? Définition !

 Le diabète, c’est une augmentation durable du taux de sucre dans le sang. Le danger : quand c’est durable, cela provoque l’altération de nombreuses structures (artères), cécité, inflammation durable du système nerveux, et autres joyeusetés.  

• Diabète, les causes

 « La régulation du taux de sucre dans le sang se fait par la sécrétion d’insuline. Elle permet l’ouverture de la porte des cellules pour y faire rentrer le glucose qui est la source d’énergie normalement directement utilisable. Dans le cas d’un diabète de type 1, l’organe qui sécrète (le pancréas) est muet. Il ne sécrète plus d’insuline » explique Benoît.  Dans le cas du diabète de type 2, c’est la cellule cible qui est sourde (= qui ne répond plus à l’insuline).  

• Diabète de type 1 et diabète de type 2, les différences

 Il faut distinguer deux maladies. Le diabète  « Type 1 » : on ne peut pas s'en protéger et il te tombe dessus, la plupart du temps, au cours des premières années de ta vie. Pour le diabète « Type 2 », en revanche, c’est différent. C’est un diabète acquis. "Cela est notamment du à des comportements alimentaires inadéquats sur de nombreuses années, aggravés par la sédentarité. En clair, des habitudes d'alimentation et de vie qui favorisent l’inflammation et bloquent la lipolyse. Viennent s’y ajouter certaines carences alimentaires (chrome, vitamine D, acides gras omega 3…) et/ou un déséquilibre du microbiote intestinal" souligne Benoît, coach sportif de Xavier Thévenard. "C'est aussi lié à l'épigénétique. Et donc à une mauvaise expression des gènes (une prédisposition génétique qui ne s'exprime que lorsque les facteurs environnementaux déclenchants sont présents : alimentation, manque de sport, stress…). Mais les patients ont la main sur leur sort, dans la très grande majorité des cas, dans ce type de diabète. Rien n'est donc perdu d'avance, il faut garder espoir mais prendre les choses en mains !" estime Benoît Nave.  « Comment faire pour ne pas développer cette pathologie, galopante ces dernières années ? C’est l’objet de cet article de prévention » précise Ben, le nutritionniste Baouw.  Le type 1 est insulino-dépendant. C'est une maladie auto-immune. Le type 2 est la conséquence d'une insulino-résistance. Si on ne fait pas attention, les deux peuvent même se combiner dans le temps.   

• Diabète de Type 1

 Maladie auto-immune, que tu peux développer très tôt, soit au cours des premiers mois de vie, ou un peu plus tard à la suite d’un choc émotionnel, par exemple. C’est ton pancréas qui ne produit plus assez d’insuline« C’est assez fréquemment lié à une réaction immunitaire vis-à-vis des protéines de lait de vache » souligne Benoît Nave.  

Les symptômes qui doivent alerter :

soif permanente, polyurie (= très fréquentes envie d’uriner), polyphagie (= tout le temps faim), polydipsie (tout le temps soif), malaises hypoglycémiques courant.  

Traitement 

 Tu n’as guère d’autre choix que d’avoir de l’insuline sur toi (pompe à insuline sous la peau avec des capteurs qui délivrent automatiquement en fonction de la glycémie mesurée).  

• Diabète de Type 2 

 

Symptômes

 Identiques. Plus insidieux, ils apparaissent de façon beaucoup plus progressive. L’insulino-résistance durable, et/ou le diabète, pourraient aussi favoriser l’apparition de pathologies comme la maladie d’Alzheimer. Les mêmes signes que ceux du diabète de type 1 peuvent apparaitre lorsque il est très déséquilibré. On aura alors aussi très soif, très faim, très envie d’uriner, entre autres. 

Traitement 

 S’il est pris suffisamment tôt, un ré-équilibrage alimentaire strict, une correction des déséquilibres micro-nutritionnels et une hygiène de vie adaptée (activité physique très régulière) peuvent parfois permettre une équilibration du diabète type 2. 

Il est très important d’équilibrer un diabète de type 2 qui, sinon, évoluerait en type 1 (insuline-dépendant). Et très important d’équilibrer un type 1 (qui sinon deviendrait insulino-résistant et donc serait difficilement contrôlé via l’insuline injectée). L'alimentation est un facteur essentiel de confort au quotidien pour les diabétiques, ainsi que la pratique d'un sport. Il faut impérativement limiter tout ce qui favorise l’insulino-résistance ! Donc toutes les sources d’inflammation chronique (apports insuffisants de graisses riches en oméga 3, les aliments et comportements alimentaires qui déséquilibrent le système digestif, les prises plus ou moins régulières de médicaments antibiotiques ou anti-inflammatoires…).


Comment veiller sur son alimentation pour éviter un diabète de type 2 ? Privilégier des aliments à charge glycémique faible à modérée !


Comment l’éviter ?

On évite évidemment :- Tout ce qui est sucre pur : coca, sodas, jus de fruits, bonbons, sucreries en tous genres, barres chocolatées du commerce (type de celles avec du chocolat fondu et du caramel, etc.).  Mais on évite aussi…- Pizzas, viennoiseries, pain de mie sandwich club - Pain blanc (pour rappel, une baguette = 55 morceaux de sucre)- Les céréales (type spécial k, corn-flakes, toutes les céréales soufflées ou en pétales), encore plus au petit-déjeuner ! Une fois de temps en temps au goûter, pourquoi pas. « Surtout après un effort, du sport ou quelconque activité intense (travail physique…) » ajoute Benoît Nave, nutritionniste Baouw, « après une dépense musculaire, en somme ». - On évite aussi certains couples maléfiques : pomme de terre - viande rouge (steak frites, hamburger frites,). Très insulino-sécréteur ! On évite également…- Yahourt et lait de vache (plats à la crème, etc.)Pour retenir, de manière générale : toute l’alimentation industrielle, raffinée.  

• Sport, alimentation et diabète : la solution Baouw

 « Nos barres Baouw sont tout à fait utilisables à l’effort par un diabétique type 2 sans aucun problème » conseille Benoît. « Ainsi que par des types 1 qui maîtrisent bien leur diabète et qui ont l’habitude de l’activité physique (lis ci-dessous le témoignage de Jean-Yves Couput, qui bosse chez Salomon. Cycliste depuis toujours et désormais adepte de l’ultra). » 




Ce qu’il faut comprendre

« Quand tu apportes du bon gras (omega 3), quand tu prends soin de ton intestin, que tu consommes suffisamment de fibres, que tu n’es pas carencé en vitamine D ni en vitamine A, que ton alimentation est suffisamment riche en vitamines B, tu diminues considérablement tes risques de développer un diabète type 2. C’est ce que nous faisons chez Baouw, dans nos barres. »« Les apports en glucides sont très lissés grâce à leurs apports en lipides, en protéines et en fibre. 100 % de nos recettes sont sans sucres ajoutés. Il y a juste celui que les fruits contiennent naturellement. Aucune de nos barres ne contient de sucre raffiné.  • Conseils d’utilisation des Baouw  « Chez le type 1, je déconseille d’en consommer en dehors de l’effort, car il reste malgré tout le sucre des fruits » recommande Benoît Nave, nutritionniste. « Pour le diabétique de type 2, une barre Baouw (toutes sont sans sucres ajoutés) peut venir compléter une collation (besoin d’un en-cas, coup de faim, grignotage) qui se fera idéalement ainsi : un fruit frais (riche en fibres et en eau) puis une poignée d’oléagineux puis une Baouw. »Et on peut évidemment, en cas de diabète de type 2, les consommer pendant et après l’effort (en récupération, par exemple).  

Comment fait-on, chez Baouw, pour maîtriser l’index glycémique des barres ?

La réponse de Benoît Nave, notre nutritionniste ! « Un produit élaboré uniquement à base d’ingrédients bruts (fruits et fruits oléagineux) contiendra toujours des fibres en quantités. Le raffinage a pour conséquence l’éviction des fibres. Cette disparition des fibres déséquilibre n'importe quel produit. Ces fibres (naturelles, qu’on trouve dans tous les végétaux) permettent une diffusion PHYSIOLOGIQUE des glucides contenu dans cet aliment. Sans quoi, l’index glycémique augmente fortement. Voilà la raison pour laquelle nos barres NE PROVOQUENT PAS de pic de glycémie. Et donc pas de coup de barre, ensuite ! » CQFD. Pas de raison de devoir résister ! Baouw fait rimer gourmandise et santé.

Par Myriam Cornu. 



"Les fibres que nous sélectionnons pour nos barres (naturelles, qu’on trouve dans tous les végétaux) permettent une diffusion PHYSIOLOGIQUE des glucides contenus dans les Baouw. Sinon, l’index glycémique augmenterait fortement. Voilà la raison pour laquelle nos barres énergétiques NE PROVOQUENT pas de pic de glycémie. Le bénéfice ? Pas de coup de barre, ensuite (du à une hypoglycémie réactionnelle)… ni pour les diabétiques, ni pour personne !" explique notre nutritionniste maison, Benoît Nave.

DIABÈTE ET PURÉES BAOUW 

« Je recommande nos purées énergétiques à l’effort, pour les diabétiques » conseille Benoît Nave, nutritionniste maison. « Ce ne sont pas des compotes : elles ne contiennent pas de sucre. L’apport de sucre est très, très lissé. Notre purée Framboise-Fraise-Basilic, notamment, affiche un index glycémique très modéré. »D’autant que, selon certaines études scientifiques, la framboise permettrait de diminuer les pics de glycémie chez les personnes présentant une résistance à l’insuline (ce qu’on appelait avant, l’état de « pré-diabète »). Elle devrait ces propriétés anti-diabète aux anthocyanes, ellagitannins et fibres qu’elle contient. Pour découvrir nos purées, fais un tour ici ! •


EN SAVOIR PLUS 

Régis et Stéphane, traileurs et diabétiques, viendront te donner des conseils pour pratiquer en toute sécurité, avec Muriel, traileuse et diabétologue, et Sandrine, infirmière de diabéto. USD 

Ce régime dit paléo est très efficace pour réduire la quantité nécessaire d’insuline, chez les diabétiques insulinothérapies-dépendants (dont type 1). Il équilibre très efficacement un diabète type 2 ou une insuline-résistance… ou peut même les faire disparaître !

 

Petit conseil aux mamans ou futures mamans

- L’alimentation en cours de grossesse est un facteur primordial pour la santé future de ton enfant (diabète et autres). - L’allaitement est fortement recommandé. « La nature a bien prévu les choses, il faut le dire » rappelle Benoît Nave. « Si on n’y arrive pas (parce qu’on n’a pas toujours le choix, bien sûr), il faut privilégier des alternatives au lait de vache : lait maternisé à base de chèvre, jument ou protéines de riz… » 

 

BAOUW, MON ALIMENTATION SPORTIVE DE DIABÉTIQUE (TYPE 1) 

« Il n’est pas simple de gérer la pratique des sports d’ultra endurance avec la condition de diabétique insulino-dépendant. Avec Baouw, j’ai vraiment trouvé ma solution ultra-cycling, en combinant une alimentation de type kétogénique (cétogène) avec un apport glucidique essentiellement limité aux barres Baouw.  

Sur une journée de 500 km, je prends en général 3 barres Endurance et deux barres Performance. Celles-ci m’apportent le minimum glucidique dont j’ai besoin sans pour autant occasionner des pics de glycémie.  

Le gros avantage ? Je réduis - voire parfois élimine ! - mes doses d’insuline à action rapide pendant mes épreuves. 

Au préalable, la plupart des suppléments énergétiques que je prenais m’obligeaient à prendre des doses d’insuline à cause d’un afflux trop rapide de sucre dans mon sang, avec toutes les conséquences négatives que cela entraînait : crampes, somnolence, envie fréquente d’uriner...

Les barres Baouw ont fait disparaître ces symptômes et, avec les différents choix d’arômes, on se lasse moins. 

Sur un ultra, ma journée alimentaire type se compose d’un petit-déjeuner avec œufs, bacon et un petit peu de fromage, puis au bout de 2 heures de route une barre énergétique Baouw  que je répète toutes les trois heures. 

Dans la journée, un peu de pain complet, du beurre, du jambon, 2 ou 3 bananes me suffisent pour avaler la vingtaine d’heures sur le vélo. Sans oublier bien sûr les 3 ou 4 expressos (mais chut, je sais que ce n’est pas très bon ! Il ne faut pas le répéter à Benoît, votre nutritionniste). Sur des épreuves de trois jours, je n’ai eu aucun dérangement intestinal. Ni non plus un déséquilibre trop important de ma glycémie. 

Le seul problème tient à la distribution des barres, car je ne pars pas avec les réserves pour trois jours, cela ferait trop de poids à trimbaler en début de course, et en trouver sur la route relève souvent d’un véritable jeu de piste.

Lors de la dernière BTR (Born to ride) entre la frontière luxembourgeoise et Saint-Tropez, j’avais noté quelques endroits où je savais pouvoir me ravitailler... encore ne fallait-il pas y passer de nuit ! » • 

Témoignage non-retouché de Jean-Yves Couput, sportif et diabétique de type 1 (diagnostiqué à l’âge de 37 ans) #baouwer


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