« À l'époque, je faisais du trail et je courais l'UTMB, j'avais acheté une marque dégueulasse que je ne citerai pas. Au bout d'un moment, j'avais le palais sur-saturé de goûts sucrés. C'était vraiment trop chimique pour moi, et vraiment, au bout d'un moment, j'étais dégoûté de ce goût sucré. En tant que consommateur, en tant que sportif, je n'avais pas grand chose à me mettre sous la dent.
Alors quand on m'a proposé de bosser pour de la nutrition sportive, j'ai tout de suite dit oui.
J'ai fait plus que ça, même ! J'ai investi tout de suite dans l'aventure.
Ce que j'avais essayé jusque là, comme nutrition pour le sport, ça donnait peut-être un coup de boost, oui, comme cela le promettait, mais derrière, tu avais tout de suite un coup de bambou, parce que c'était une énergie mal gérée, mal calibrée.
J’étais très honoré d'avoir été choisi pour le projet Baouw, pour dire la vérité. Je ne sais même pas vraiment pourquoi ça a été moi. J'avais peut-être à l'époque une certaine humilité qui a plu ? En tout cas, j'ai tout de suite plongé dedans et, même, nous avons investi financièrement, avec ma femme Élodie, dans la création de la marque Baouw parce que le projet m'intéressait beaucoup. L'aventure !
Il y a du fun dans cette aventure Baouw. Ça me sortait un peu de mes cuisines. Le « Va jouer dehors ! » a marché pleinement, sur moi.
J'avais besoin moi-même de m'alimenter correctement, sainement, à l'effort.
C'est une fierté, aussi, de porter une marque comme ça, aujourd'hui.
Maintenant, j'ai enfin quelque chose d'intéressant à ma disposition en tant que consommateur. »